Réconcilier performance et humanité : le défi du leadership moderne
- guillaumedssite
- 13 mai
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Le monde du travail actuel exige de concilier performance économique et bien-être des collaborateurs. Cela représente un défi majeur pour le leadership moderne. Atteindre des objectifs ambitieux et dans le même temps respecter et valoriser chaque individu n’est pas aisé. Guillaume de Sercey, ancien colonel de la Légion étrangère devenu coach et conférencier, a expérimenté cette synergie au plus haut niveau.
Son expérience Légion étrangère lui offre une perspective sur la conduite d’équipes performantes dans un environnement de confiance et de respect. Il nous invite à découvrir les clés d’un leadership moderne qui unit performance et humanité.
Dépasser la dichotomie traditionnelle : performance-bien-être
Pendant longtemps, la performance et le bien-être ont été perçus comme deux notions opposées, voire incompatibles. En effet, l’atteinte des objectifs était associée à la pression, à la compétition et à une certaine forme d’exigence parfois déshumanisante. Inversement, la focalisation sur le bien-être pouvait être interprétée comme un frein à la productivité.
Le leadership moderne doit impérativement dépasser cette dichotomie et comprendre que ces deux aspects sont en réalité intrinsèquement liés. En tant que coach, Guillaume de Sercey aide les entreprises à intégrer cette vision holistique dans leur quotidien.
Une équipe où les collaborateurs se sentent respectés, valorisés et écoutés est une équipe plus engagée et plus motivée. Par conséquent, elle sera plus performante sur le long terme. Le bien-être au travail n’est pas un luxe, mais un facteur clé de succès. Il réduit le stress et l’absentéisme et favorise :
La créativité ;
La collaboration ;
La fidélisation des talents.
Un leader moderne comprend que l’investissement dans le capital humain est un investissement direct dans la performance globale de l’organisation. L’expérience Légion étrangère du colonel Guillaume de Sercey lui a enseigné que la performance opérationnelle dépend directement du moral et de la cohésion d’équipe.
Cultiver l’esprit de confiance et de transparence
La confiance et la transparence sont d’une importance capitale dans ce domaine :
La confiance : l’une des valeurs à cultiver
La confiance est le fondement d’un leadership qui concilie performance et humanité. Lorsque les collaborateurs font confiance à leurs leaders et à l’organisation, il leur est facile de s’investir pleinement, de prendre des initiatives et de surmonter les difficultés. La transparence dans la communication est importante pour instaurer cette confiance. Expliquer les décisions, partager les informations et être ouvert aux retours présentent bien des avantages. Cela contribue à créer un climat de sécurité psychologique où chacun se sent respecté et inclus.
Guillaume de Sercey, conférencier, insiste sur le rôle crucial de la confiance dans le management d’équipes performantes.
La transparence
Un leader transparent n’hésite pas à reconnaître ses erreurs, à admettre ses limites et à solliciter l’avis de son équipe. Cette humilité renforce la crédibilité et favorise une culture d’apprentissage continu. Lorsque les collaborateurs se sentent entendus et que leurs contributions sont valorisées, ils sont plus engagés et plus performants. L’expérience Légion étrangère a permis au colonel Guillaume de Sercey de développer une communication authentique, essentielle pour la cohésion d’équipe.
Développer l’intelligence émotionnelle
Cela est aussi capital :
Que comprendre par intelligence émotionnelle ?
L’intelligence émotionnelle englobe la conscience de soi, la maîtrise de soi, la motivation, l’empathie et les compétences sociales. C’est une compétence nécessaire pour un leadership moderne et humaniste. En effet, un leader doté d’une forte intelligence émotionnelle est capable de comprendre les émotions des autres, de gérer ses propres émotions de manière constructive et de construire des relations positives.
Guillaume de Sercey, fort de son expérience Légion étrangère et de son expertise en management interculturel, met en avant l’importance de l’intelligence émotionnelle dans ses interventions.
Que dire de l’empathie ?
L’empathie, en particulier, est importante pour créer un environnement de travail où les collaborateurs se sentent compris et soutenus. Un leader empathique est attentif aux besoins et aux préoccupations de son équipe. Aussi, il sait adapter son approche en fonction des situations individuelles et il favorise un climat de bienveillance.
Cette approche humaniste renforce l’engagement, la loyauté et la performance collective. Le colonel Guillaume de Sercey a appris, au sein de la Légion étrangère, à adapter son leadership à des contextes humains variés et complexes.
Fixer des objectifs ambitieux, plus qu’un engagement
Performance ne rime pas nécessairement avec pression excessive et déshumanisation. Il est tout à fait possible de fixer des objectifs ambitieux et stimulants tout en veillant au bien-être des collaborateurs. La clé réside dans la manière dont ces objectifs sont communiqués et accompagnés.
Le conférencier et coach, Guillaume de Sercey partage des stratégies pour un management qui allie exigence et respect des valeurs humaines.
Donner du sens au travail, expliquer le « pourquoi » derrière les objectifs, permet aux collaborateurs de se sentir plus connectés à la mission de l’organisation et de s’investir avec plus d’enthousiasme. Un accompagnement bienveillant, basé sur le soutien, le feedback constructif et la reconnaissance des efforts est essentiel.
Il contribue à créer un environnement où chacun se sent capable de progresser et de donner le meilleur de lui-même sans se sentir dépassé ou maltraité. L’expérience Légion étrangère a enseigné au colonel Guillaume de Sercey l’art de motiver des équipes dans des conditions extrêmes. Et ceci, en s’appuyant sur un fort esprit d’équipe et un sens clair de la mission.